Après quelques maxis (dont quelques uns sur le label Chemikal Underground), et deux passages remarqués à la Route du Route de Saint-Malo, les quatre new-yorkais d’Interpol (dont le siège, en vrai, est à Lyon) signent un premier album dense, fait de chanson urgentes, de tension parfaitement maîtrisée.
Les Radio 4 sont new-yorkais, ils mélangent l’énergie des guitares punk et les joies de l’électronique. Avec un arrière-fond politique qui ne devrait pas déplaire. A commencer par la pochette de ce “Gotham” (comme la ville de Batman), qui est une affiche confectionnée par un atelier de l’école des arts décos en mai 68. Dans la version originale, l’affiche proclame : “Information libre.” Chez Radio 4, c’est le rock qui est libre.
A l’occasion de la sortie de son disque “2000” en cette rentrée 2002, retour sur
Voici un joli disque de rock contemplatif, en droite ligne des travaux ambient de Brian
L’ambiance est hyper feutrée sur ce premier album du guitariste Gérard Curbillon, accompagné par l’organiste
Quand un guitariste prénommé Tom (ou plutôt Thomas Naïm) découvre que sa cousine Joyce Hozé,
Ce qui est sympa, avec The Coral, outre son style (sur)vitaminé, c’est qu’aucune chanson ne se ressemble… ça part dans tous les sens pour dire ce qui est. C’est un peu pompier aussi. Visiblement farfelus, les petits gars de Hoylake (dans le Merseyside, c’est à dire à quelques kilomètres de Liverpool) s’amusent.
Ils sont jeunes et beaux, et la pochette de leur album (sorti depuis un bon
Chic, après l’excellent “Songbook” de ses plus belles chansons enregistrées par les meilleurs artistes du
“Q” mène l’enquête. Car comme le dit le mensuel britannique dans son numéro d’octobre, “every