C’est bien connu, en tout cas pour les lecteurs de “National Geographic” et les explorateurs
On ne va pas vous faire le coup du “c’est proprement extraordinaire, ça n’a jamais
Il y a le bandonéon des villes et le bandonéon des champs. En intitulant son
Bien sûr, il a un sale caractère : tous les fans de jazz ont pu aller
Je suis passionné par la musique norvégienne. Il y a quelque chose de particulier dans
Il a pu m’arriver de décrire le son ECM comme (excusez-moi de me citer) du
Après “Stoa” (voir notre article) le Zurichois et ses ronins sont de retour. Dans le
Voici encore une rencontre improbable comme on les aime, rendue plausible par un directeur artistique :
Sortir un album de piano solo sur ECM, le label qui publia le concert de
C’est de Pologne que nous vient ce quartet, auteur avec Lontano d’un numéro de jazz
